Dans de Nombreux Vignobles et, bien sur à Lamartine, nos rosiers n'ont pas qu'un rôle purement décoratif . La raison est celle du dépistage de certaines maladies de la vigne. En effet, les rosiers sont vulnérables – et même plus sensibles – à certaines maladies qui touchent également la vigne, en particulier à l’oïdium. Si bien que la maladie s’attaque d’abord aux rosiers avant de s’en prendre à la vigne. Lorsque le vigneron décèle les premiers signes de la maladies sur les feuilles des rosiers, il peut donc intervenir pour traiter sa vigne et sauver sa récolte !
L’oïdium est l’une des maladies les plus dangereuses pour la vigne, au même titre que le mildiou. Favorisée par l’humidité, elle est due à l’activité d’un champignon qui s’attaque à la feuille et aux baies de la plante. L’attaque se caractérise par l’apparition de tâches de poudre blanche sur les feuilles ou les baies, que la maladie détruit progressivement. Privée de feuille la plante ne peut plus se développer ni produire de raisins. Toute la récolte peut ainsi être détruite si le vigneron ne réagit pas.
L’oïdium est l’une des maladies les plus dangereuses pour la vigne, au même titre que le mildiou. Favorisée par l’humidité, elle est due à l’activité d’un champignon qui s’attaque à la feuille et aux baies de la plante. L’attaque se caractérise par l’apparition de tâches de poudre blanche sur les feuilles ou les baies, que la maladie détruit progressivement. Privée de feuille la plante ne peut plus se développer ni produire de raisins. Toute la récolte peut ainsi être détruite si le vigneron ne réagit pas.